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Wine Description
The Story
Between the estates of Pétrus and La Fleur-Pétrus, amid vineyards, stands a stone house with closed shutters. The road that winds to the house between the vine rows has no signs or indications as to the name of the place. The construction looks more like a maintenance shed for the neighbouring estates than the main building of a winery. However, this is a house that makes one of the most desirable wines in Bordeaux: Château Lafleur.
Lafleur’s wines form an interesting contrast to their neighbour, Pétrus. Their terroirs differ significantly, even though the distance between them is only 50–100 metres. Whereas Pétrus is more seductively rich, full-bodied and intense, Lafleur is charming in its elegance, femininity and subtlety.
Lafleur’s wines are delightful, but they do require aging for at least twenty years in order to display their full, nuanced character. Guinaudeau’s investments into improving quality in all of Lafleur’s functions promise an even better future for the friends of Lafleur. Although tasting the 1947, 1950, 1961, 1975 or 1982, one can only wonder whether Lafleur’s wines could get any better?
Vintage 1996
Les années 1996 se présentent comme une année bordelaise « classique », bien que – comme l’a écrit Jancis Robinson MW – pas dans le sens « maigre » ; Bien que le directeur de Farr Vintners, Tom Hudson, ait déclaré à l’industrie des boissons que c’était peut-être une année « très bonne » plutôt que « vraiment géniale », car elle n’était pas uniformément excellente dans la région.
Pour rappel, 1996 a été un millésime particulièrement prometteur pour les vins du Médoc. Le site Berry Bros & Rudd vante : « C’est l’un des grands millésimes d’après-guerre pour les vins du Médoc Cabernet. Ce sont des vins riches, complexes et magnifiquement équilibrés, remplis de fruits mûrs et purs et dotés de la structure qui permettra aux meilleurs vins de vieillir au cours de la prochaine décennie et au-delà.
La rive droite, en revanche, est décrite comme « distinguée » mais « éclipsée » par les années 95 – ce qui était un millésime particulièrement bon pour Saint Emilion et Pomerol.
C’était aussi un excellent millésime pour Bordeaux blanc.
Les scores de Robert Parker ont tendance à favoriser la rive gauche, bien que quelques-uns des meilleurs vins de la rive droite aient également reçu des critiques très respectables.
Seuls deux vins ont reçu 100 points: Lafite et Latour, Margaux a été classé 99, Léoville Las Cases 98, Ducru Beaucaillou 96 et Pichon-Comtesse 96.
La Mondotte était le vin de la rive droite le mieux noté avec 97 points, Ausone était le deuxième mieux noté avec 93, tout comme L’Eglise Clinet, tandis que Gomerie, Petrus et Le Pin se sont contentés de 92 et Cheval Blanc de 90.
Avec près de 20 ans, les vins se sont naturellement appréciés et maintenant qu’ils sont bien dans leur fenêtre d’abreuvement, la demande commencera presque certainement à pousser les prix encore plus haut pour les plus demandés d’entre eux.
Les chiffres sont souvent impressionnants, à ce jour Lafite a connu une hausse de 657,9% depuis sa sortie, son deuxième vin Carruades est en hausse de 592%, Latour a augmenté de 437%, Petrus de 400% et Pichon Baron de 240%.
